En tombant par hasard sur le "Nosferatu" de Murnau (1922) alors que je recherchais le morceau du même nom de Slint (album "Spiderland"), je me mets à méditer sur la pureté de ce cinéma là, qui créait sa propre grammaire et avait recours à des effets minimaux, pour un résultat encore efficace pour peu qu'on sache encore écarquiller les yeux.
"Wait, young man, you can't escape your destiny by runnin' away"...
mardi 15 juillet 2008
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