J'ai toujours eu une passion pour la pop évanescente de Broadcast, leurs arrangements cristallins et emplis de petits glick glick qui justifient leur présence chez Warp. J'adore leurs synthétiseurs hors du temps, j'adore ce que je trouve insupportable chez les concurrents directs Stereolab : la voix fragile de la chanteuse, qui chante peu, justement. Souvent elle sussure des histoires tordues, des chiens noirs, évoque des souvenirs sépia et des échelles sous lesquelles il faut nécessairement passer. Je me souviens aussi de toutes les vicissitudes que ce groupe a traversées (décès, split, galères en tous genres), qui ont en quelque sorte façonné sa légende...
Un morceau instrumental inédit par ici.
Et deux vidéos par là :
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire