mercredi 4 juin 2008

Judas.

Trois souvenirs d'une virée l'été dernier sur l'Ile de Vassivière, au fin fond du Limousin, pour l'expo Cyprien Gaillard. Je m'étais amusé à me perdre, en prenant tout mon temps, dans les couloirs de la petite maison bourgeoise (pompeusement nommée château) qui abritait une partie de cette expo et le Palais (allons-y !) de Tokyo délocalisé. Trois judas, trois visions de ce petit monde, trois myopies volontaires qui font apparaître certains petits détails et réactivent un regard de biais sur les choses. L'obstacle crée la poésie.



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